Nom : Araa
Prenom : Belsambar
Âge : 39 ans
Sexe : masculin
Caractère : Il a du mal à se controller, sa colère surgit en lui et le rends compètement indomptable. Si on ne réponds pas a ses questions, il est pret à vous transformer en purée, mais c'est un homme juste qui est pret a récompensé tout srvice qu'on lui rends
Description Physique : 185cm, 95 kg, grand brun aux traits droits qui lui donnent une impression d'homme austère. Son incroyable stature fait qu'on ne peut pas le manquer, il crait un malaise partout ou il rentre. Il porte une longue cape de fourrure tombant sur habits rapiécés, sur son coté droit se trouve une dague et des peaux de bêtes pendent a sa ceinture.
Classe : Shaman
Histoire :
Belsambar est né dans une famille de propriétaires terriens fortunés, Kaldor et Mara. Ils possédaient de nombreux hectares de terres cultivables, et ont permis aux autres d’en profiter. Il redistribuait les richesses de manière presque équitable et ils passaient pour de bon propriétaires. C’était un lieu où il faisait bon vivre, et la population mangeait à sa faim, ce qui n’est pas le cas dans tout le royaume. Kaldor et Mara vivaient une vie paisible, mais un duc vint s’installé non loin de chez eux, et cet homme du nom de Torak commença à acheter toutes les terres cultivables qu’il trouvait, mais il profitait de son métier à l’insu des plus faibles. Il fit alors de nombreuses propositions pour racheter les terres de Mara et Kaldor mais ils refusèrent en prétextant le manque d’attention porté aux ouvriers sur les terres de Torak. Une violente dispute débuta alors…
C’était une nuit de printemps et l’orage tonnait dehors. Le petit Belsambar, âgé alors de 4 ans jouait docilement près du feu pendant que ses parents rédigeaient pour la centième fois une lettre de refus aux offres de Torak. Mais cette nuit devait tout changer dans la vie de Belsambar. La nuit tombait et le tonnerre étouffait tout bruit, mais c’est alors qu’on entendit un poignard siffler dans l’air. Belsambar de retourna et vie son père gisant par terre, un poignard planté dans le cou ; sa mère, elle se précipitait sur lui en renversant tout sur son chemin. Elle le prit et l’emmena dehors tandis que la pluie battait, elle fuyait vers la forêt voisine. Mais à peine arrivée dans la forêt, Mara reçut elle aussi un poignard dans le dos, elle déposa son fils a terre, et mourut ainsi dans la boue, et sous la pluie. Ces images restèrent gravé dans la mémoire du jeune Belsambar, et quelque soit sa destinée future, il se souviendra toujours de ce triste jour où son père et sa mère sont morts.
Belsambar pataugea dans la boue de puis plusieurs jours, il se nourrissait de baie et champignon qu’il avait appris a connaître dans sa petite enfance, mais ses forces le quittaient doucement. Le sentiment de vengeance était la seule chose qui le tenait à la vie et avec les jours le mois et les années, il apprit a se servir de la forêt tout en la respectant. Sa force se développait rapidement dans cette forêt ou le danger était partout, les combats avec les bêtes sauvages entraînaient sa force, sa rapidité, mais aussi ses pouvoirs ( il devait se soigné des blessures qu’il subissait).
A 18 ans, Belsambar était un homme a forte carrure, les épaules larges, le visage carré, mais il ne se sentait toujours pas prêt de rencontré ses ennemis de toujours qui étaient alors sa seule raison de vivre. Il décida de parcourir le monde afin de s’instruire, mais aussi afin de trouver des compagnons qui pourraient l’épaulé dans sa quête contre le nouveau grand duc de sa région d’origine. Mais 20 ans plus tard et des milliers de kilomètres parcourus, il était toujours seul, personne ne semblait avoir le courage de se levé contre le grand duc. C’est à cette période qu’il apprit que les paysans s’étaient révoltés et qu’ils avaient assassinés le grand duc Torak. Belsambar partit alors pour son pays d’origine afin de voir son pire ennemi crevé sur un poteau au soleil.
Cet ici que commence notre histoire, avec un Belsambar perdu dans sa souffrance, et dans son doute. Il voyage a travers le monde afin de trouver un but à sa vie, et il vie des payes que lui fournissent les petites missions qu’on lui envoi ; chassé les bêtes, guérir les maux…